Parfaites pour une utilisation quotidienne ou des occasions spéciales, ces vestes ajoutent une touche d’originalité et d’élégance à toute garde-robe, tout en restant fidèles aux racines algériennes de Numidia Boutique.
Le Constantinois traditionnel d'aujourd'hui porte la qmedja ainsi que le sarouel ample et plissé, parfois assorti au burnous. La ceinture hzam peut être enroulée autour de la taille[127]. Il se chausse de çabbabit locaux ou de chaussures européennes pour la rue, tandis qu’a la maison il porte toujours les babouches[127].
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Conservation : ranger le vêtement dans un endroit sec et à l’abri de la lumière website pour éviter la décoloration et la détérioration des matériaux.
Description du produit:“Cette chemise est à la fois élégante et respectueuse de l’environnement. Disponible en plusieurs coloris doux comme le vert olive, le beige et le bleu pastel, elle reflète…
Dans cette société traditionnellement matriarcale, la femme ne se voile pas, mais elle porte un châle de couleurs foncées violacées, de manière générale. Les vêtements sont confectionnés dans des tissus unis et sombres[115].
À la suite des événements de la conquête coloniale, la ville subit un déclin vital, la blouza est alors accueillie, encore plus favorablement, par les habitantes du Mascara moderne[42].
La bniqa sert parfois pour sortir du hammam, ainsi que les sandales de bois (qabqab). Les femmes qui se recouvrent pour sortir d'un haïk blanc complètent leur tenue par le 'adjar. Le caftan determine parmi les tenues portées par les mariées[21].
La ghlila, ancêtre du karakou, est une veste cintrée en velours qui symbolise l’élégance algéroise. Elle est souvent agrémentée de broderies fastueuses et rehaussée de bijoux, marquant le statut de celle qui la porte. La taille est bien marquée, et la ghlila épouse les formes, offrant une silhouette distinguée.
Alger se situe à la jonction de ces deux zones, car or truck, à partir de l'époque ottomane, son costume joue un rôle primordial dans la diffusion de nouvelles tendances vestimentaires dans les autres villes d'Algérie[two].
Les alternatives proposées incluent souvent des tenues traditionnelles avec veste ou bien des robes furthermore modernes avec des manches bouffantes ou encore une robe caftan.
Tableau de Jan-Baptist Huysmans au XIXe siècle. Les Algéroises les in addition aisées choisissent d'allonger la ghlila non décolletée jusqu'aux chevilles, ce qui devient le caftan d'Alger. La ghlila décolletée à la levantine se cantonne dès lors au rôle de vêtement quotidien, tandis que le caftan s'impose comme un costume de cérémonie[11].
Les Takchitas sont souvent in addition amples et moreover longues que les Karakous, et elles sont ornées de broderies et de dentelles.
« Ce sont des tenues que l’on retrouve en Algérie, mais également en Tunisie, au Maroc et dans certains pays africains. Seulement, ils se sont figés dans le temps et sont devenus des tenues réservées aux situations exceptionnelles.